Chrétienne arabe de Terre Sainte, Mariam Baouardy (Bawardi), sœur Marie de Jésus Crucifié, carmélite, (1846-1878) « la petite Arabe », est morte comme Jésus à 33 ans. Cette Galiléenne est canonisée le 17 mai 2015. Un récit sur sa vie remplie des merveilles de Dieu.
Mariam Baouardy (ou Bawardi) est originaire de la Galilée, d’une famille pauvre et très croyante. Orpheline à trois ans, adoptée par son oncle, sa vie devient une succession étonnante de manifestations surnaturelles dignes d’une Catherine de Sienne ou d’une Thérèse d’Avila, depuis les stigmates jusqu’aux combats singuliers contre Satan.
D’où lui vient cette sagesse délicieuse, enfantine et forte, qui la fait aimer de tous? D’où lui vient ce feu d’amour qui la brûle? Pour elle comme pour saint Paul, « vivre, c’est le Christ ».
Devenue au Carmel soeur Marie de Jésus-Crucifié, l’humble tourière et la robuste bâtisseuse est visitée par Jésus et par Marie. Leurs paroles nous sont destinées aujourd’hui et éclairent l’avenir de notre humanité. Mariam meurt à Bethléem à trente-trois ans, le 26 août 1878, peu après la naissance de Thérèse de Lisieux. Jean-Paul II la béatifie le 13 novembre 1983 et le pape François la canonise le 17 mai 2015.
Il est difficile de découvrir Mariam sans être profondément touché par son témoignage et sans désirer devenir saint à notre tour, à son école!
Joseph Ortner –
…Mariam de Bethléem n’est pas une histoire, c’est une rencontre. Elle est restée dans l’ombre plus d’un siècle, pas pour rien, sa vie, son chemin, ses enseignements sont destinés à notre temps. Elle n’a fréquenté qu’une école, celle de Marie notre mère. Dans ce petit livre, il y a toutes les réponses à toutes les questions, quand je dis toutes, c’est bien toutes. Merci saint Jean-Paul II de nous avoir révélé et donné Mariam de Bethléem comme guide sur le chemin vers Marie notre Mère qui nous dirige droit vers son Fils Jésus en qui le Père se glorifie. Notre temps vit des souffrances profondes, avec Mariam nous apprenons à regarder comme Marie et à les aimer comme Jésus. J’ai besoin de Mariam tous les jours parce qu’elle m’apprend à aimer comme Marie et Jésus, comme j’ai besoin de Saint Joseph, mon Saint Patron parce qu’il m’aide au travail (je suis artisan). Accueillir Mariam chez soi c’est le Ciel tout entier qui s’invite chez vous. Le plus beau cadeau que l’on puisse faire à quelqu’un…
Victoire –
Bonjour
J’ai visité Medj, et je vous ai rencontrée Soeur Emmanuel. Vous m’avez rempli le cœur de pleins de choses.
En Israël, j’ai visité le Carmel où Mariam a vécu et aussi j’ai été très touchée.
Votre livre, je l’ai acheté, et c’est un super support de notre foi, à notre époque. Je recommande à vous tous chers amis de le prendre.