À la suite de Thérèse d’Avila laissons-nous convertir et guider sur ce chemin vers la vraie liberté.
À notre époque où la recherche du plaisir, du bien-être et de la sécurité constituent pour beaucoup le but de l’existence, la conversion est-elle encore d’actualité ? Cette notion évocatrice de renoncement, de sacrifice, et d’effort n’est a priori pas très attirante…
La conversion ne concernerait-elle que les grands pécheurs (autrement dit : d’autres peut être … mais pas moi!) ? Ou bien des perfectionnistes frustrés s’interdisant de " profiter de la vie ? Pourtant, des personnes ayant apparemment " tout pour être heureuses" sombrent dans la dépression ou le désespoir, parfois jusqu’au suicide…
L’expérience montre que faire " ce que je veux, quand je veux, comme je veux " ne donne qu’une apparence de liberté. En outre, obéir à une loi ne suffit pas à vivre en plénitude : l’histoire du jeune homme riche le souligne. La véritable liberté à laquelle nous aspirons nécessite toujours un cheminement personnel, qui est précisément la conversion, et celle-ci devient désirable quand on en comprend l’enjeu.
Que nous vivions apparemment très loin de Dieu ou que nous soyons "catholiquement corrects", Dieu qui nous aime nous appelle à la conversion, pour notre bonheur. A la suite de sainte Thérèse d’Avila, l’auteur de ce petit traité nous guide sur cette voie.
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